TSI Policy Brief No. 4 on third sector barriers in France
The relationships between French TSO’s and public authorities have profoundly changed. In the new public management context and the spreading of tendering processes, TSO’s are seen more as services providers than as co-producers of public policies. This trend jeopardizes their advocacy function and their innovative capacity of revealing new social needs. TSI researchers Francesca Petrella and Nadine Richez-Battesti compiled a set of policy recommendations for France that are based on extensive empirical research in the fields of social services, culture, and sports.
Aujourd’hui le tiers secteur (ici l’ESS) est reconnu comme un mode d’entreprendre et une force économique qui représente en moyenne 10% de l’emploi total et 2,3 millions de salarié. L’ESS est le premier employeur dans le secteur social (62% des emplois), dans le sport et les activités de loisirs (55% des emplois) et un employeur important du secteur de la culture (27% des emplois). En complément des travailleurs salariés, les bénévoles demeurent une ressource majeure pour les associations. En 2013, 11 millions de personnes c’est-à-dire 22% de la population de plus de 16 ans, déclaraient avoir exercé une activité en tant que bénévoles dans les 12 derniers mois dans une association ou un autre type d’organisation.
En dépit de la diversité des champs d’activité retenus dans cette étude, le tiers secteur à la française dans son ensemble est confronté à des transformations majeures concernant son environnement institutionnel et légal, les différentes voies de l’hybridation des ressources, sa gouvernance interne et sa gestion des ressources humaines.
For more background reading refer to the national report on barriers for the French third sector.